"VEZO" rame et pagaye
Cernée par l'océan, les Sakalava naviguent ,pagayent , se laissent porter par le vent ou le ''tsioka'' à bord de leurs ''lakana'' ou pirogues, leurs seul communication avec toute la civilisation..
Étant des agropasteurs, qui vient de l'élevage et de l'agriculture, le pirogue est un élément important pour chaque famille de Sakalava.
Sa fabrication se fait à partir du savoir faire du piroguier, d'une hache et bien sur, un tronc d'arbre et le fameux ''katrafay'' qui servira de bois pour les clous, les mats et les rames.
Après une semaine de dur travaille, le pirogue est quasi-prête, il ne reste que le transporter près de la plage pour que les hommes de la famille finissent l'assemblage.
L'évènement se fête par les villageois, pour l'occasion le vieux du village demande la bénédiction ancestrale en versant le rhum du rite Malagasy pour que les dieux veillent sur les pêcheurs.
À l'aide d'un filet minutieusement tressé avec du cordon synthétique défibre ou d'un harpon de fer adapté à la Malagasy, les pêcheurs prennent le large.
Le "naoda" ou le capitaine assure la traversée, le métier se transmet de père en fils seulement avec de l'expérience et bien sûr le savoir faire acquis et inné de ces ancêtres. Que ce soit le "varatraza" (le vent du nord) ou le "tadio" (le vent du Sud) , les voyageurs à bord du pirogue naviguent jour et nuit ,sans peur du grand bleu ,un tout autre univers ...
Étant des agropasteurs, qui vient de l'élevage et de l'agriculture, le pirogue est un élément important pour chaque famille de Sakalava.
Sa fabrication se fait à partir du savoir faire du piroguier, d'une hache et bien sur, un tronc d'arbre et le fameux ''katrafay'' qui servira de bois pour les clous, les mats et les rames.
Après une semaine de dur travaille, le pirogue est quasi-prête, il ne reste que le transporter près de la plage pour que les hommes de la famille finissent l'assemblage.
L'évènement se fête par les villageois, pour l'occasion le vieux du village demande la bénédiction ancestrale en versant le rhum du rite Malagasy pour que les dieux veillent sur les pêcheurs.
À l'aide d'un filet minutieusement tressé avec du cordon synthétique défibre ou d'un harpon de fer adapté à la Malagasy, les pêcheurs prennent le large.
Le "naoda" ou le capitaine assure la traversée, le métier se transmet de père en fils seulement avec de l'expérience et bien sûr le savoir faire acquis et inné de ces ancêtres. Que ce soit le "varatraza" (le vent du nord) ou le "tadio" (le vent du Sud) , les voyageurs à bord du pirogue naviguent jour et nuit ,sans peur du grand bleu ,un tout autre univers ...
Harena Valih.
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